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Olivier Lambert - le retour :D

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Olivier Lambert - le retour :D Mar 27 Mar - 8:38

Olivier Lambert
- citation au choix, pour faire joli -

 
ft. OC de Re°

 NOM ; Lambert
 PRÉNOM ; Olivier
 AGE ; 22 ans- 22/02
 SEXE ; Masculin
 NATIONALITÉ ; Française
 SEXUALITÉ ; L'ignore mais bisexuel et polyamoureux (lié à l'arrivée d'Alice dans son corps)
 SITUATION CONJUGALE ;Célibataire
 OCCUPATION ; Étudiant en première année de master littérature, peintre amateur dans son studio depuis décembre.
 PARTICULARITÉ ; Olivier est Albinos, il a donc les cheveux blanc et une pointe de rouge dans l'iris de ses yeux.

 POUVOIR ; Maîtrise de l'électricité : Olivier maîtrise l'électricité. Enfin pour l'instant il sait juste éteindre et allumer les appareils électrique. Bien sûr d'autre possibilité s'offre à lui quant à l'exploitation de son pouvoir, mais il ne cherche pas à aller plus loin. Stabiliser les premiers symptômes pour éviter un problème social au niveau technologique était sa problématique première et sa motivation le maîtriser. Maintenant que cela est acquis, il essaye de faire en sorte d'oublier cet élément qui fait parti de lui.
 NOMBRE DE MORTS ; 1
 CAUSES DES MORTS ; Accident de voiture
 
INSIDE MY MIND

 C’était un garçon un peu solitaire à cause de sa maladie, très lunatique gérant mal ses sauts d’humeurs, ce qui avait le don de l’agacer un peu plus. Il avait cette mauvaise habitude d’être grossier, jurant presque à chacune de ses phrases. Un vrai chartier… Pourtant c’était quelqu’un de tendre, un peu maladroit mais qui avait un plein d’amour à donner. Son isolement social le rendait maladroit dans ses relations et je peux le comprendre, moi-même j’ai du mal avec cet aspect de la vie. Dans ses études, il était très sérieux, même s’il avait du mal à se lever le matin et à se motiver à aller en cours. Je crois qu’il attachait de l’importance à ses études car c’était ce qui le rattachait encore à la vie réelle. Pourtant il étudiait la littérature car c’était son moyen de s’évader et d’oublier tous ses soucis. Il voulait devenir écrivain, j’ai retrouvé quelques nouvelles chez lui. Je les trouve agréable à lire, qui sait peut-être que je pourrais les peindre ?

Et avec tous ça, il y a aussi moi, une jeune fille réservée qui vit dans l’ombre car elle n’aime pas ce que lui propose la société. Une jeune fille mal à l’aise avec les relations sociale, qui n’a ni d’amour ni de haine à donner. Je me fiche de ce qui m’entoure en réalité : je préfère être seule car il est plus simple de n’avoir que soit à gérer. Prendre en considération les autres me semble trop compliquée. Oui je suis égoïste, je pense à moi en premier lieux. Parfois je laisse ma curiosité prendre le dessus et observe les Hommes. Je trouve qu’ils sont aussi fascinant qu’écœurant dans leur comportement et leur relation, mais je pense que je ne vaux guère mieux.
Si Olivier s’échappe dans la lecture, moi j’ai choisi la peinture, étudiant aux Beaux Arts de la ville. J’aime peindre, encore et encore, parfois même jusqu’à en perdre la notion du temps. Je suis comme ça : quand je peins la réalité n’existe plus pour moi, il faut qu’on m’y ramène de force ou je finirais par disparaître, me faire engloutir par cette passion si dévorante qu’elle me ronge de l’intérieur. Mes sujets de prédilection ? L’art non figuratif, l’art expressif : j’aime représenter mes sentiments. Cela ne m’empêche pas pour autant de croquer des paysages, des scènes du quotidien ou bien tout ce qui me passe par la tête.

Et puis il y a nous : une personne qui découvre ce que c’est que d’avoir de l’amour à donner, mais qui est bien trop maladroite et solitaire pour le faire. Une personne qui s’isole de plus en plus de son entourage, qui coupe les ponts par peur d’affronter la réalité. Une personne qui a des sauts d’humeurs et qui jure de temps à autre, mais sans plus. Une personne qui aime la littérature et la peinture, qui s’échappe dans ces deux univers au point d’oublier qu’il y a un monde en dehors. Ça c’est nous.
Mais nous c’est aussi une fille bordélique avec un homme doué pour l’organisation et la cuisine. Cela donne un mélange assez drôle : un appartement en chantier avec des murs couverts de post-it de chose à ne pas oublier ou à faire. Puis c’est deux personnes qui ont un sens de la mode exécrable, qui se contentent du pratique et confortable. Peut importe si cela est jolie ou tendance du moment que le vêtement ne nous gêne pas dans nos activités cela nous convient.
C’est aussi un mélange entre l’optimiste et la pessimiste. De ce côté là, nous faisons un bon équilibre, je me surprends même à aimer cet aspect de nos deux caractères. Ne plus constamment voir le monde en noir rend les choses plus agréable à vivre, comme les relations humaines.

Enfin voilà, j’apprends à vivre dans son corps avec mon caractère car je ne veux pas m’effacer, mais je subis les influences du sien. Alors parfois ça m’agace, comme cette manie de se mettre à jurer quand les choses ne vont pas ou de ressentir de la peine ou de l’amitié pour un autre être humain, mais j’apprends à faire avec, à m’y habituer. Après tout je n’ai pas le choix.

 
I CHOSE THIS PATH



On ne sait quand ni comment nous allons mourir. La seule certitude que nous ayons c’est que nous mourrons tous un jour. Qu’enfin nous pourrons mettre un point final à notre histoire, mais que ce passera-t-il après ? C’est ce qui nous effraie, ce qui nous pousse à se battre pour la vie, ou c’est ce qui nous attire. L’être humain est complexe : pour ma part j’en ai peur, autant qu’elle attise ma curiosité. La vie se termine-t-elle vraiment lorsque la mort appose son point final ? Est-ce vraiment un point final ? Qu’est-ce ? J’évite d'y penser, y songer décuple ma peur.
Alors je mène ma vie paisiblement, cachée dans l’ombre des autres, silencieuse. Comme un fantôme je vis aussi discrètement que possible. Lorsque l’on lance mon nom on hausse les épaules d’ignorance, lorsque le son de ma voix retenti on se rappelle de mon existence. Cela me convient parfaitement, c’est un choix que j’ai fait : je n’aime pas la société, elle me donne envie de vomir. Oh non je n’ai aucune rancœur personnelle contre la société ; juste que l’évolution humain me peine, m’écœure, me révolte, mais je suis impuissante alors je m’efface. Une vie calme et paisible, voilà tout ce que je demandais : pas de remue ménage, pas de mélodrame, rien, du plat.

Au diable l’aventure, au diable l’excitation. Et si je pouvais tuer le responsable de ce qui va suivre, je le ferais sans hésiter ou pas vraiment. Cela serait trop fort en émotion pour moi. Peut-être pas pour « Olivier ».

C’était un matin d’hiver comme on en voit en décembre. Une fine pluie verglaçante tombait depuis le début de la nuit. Emmitouflée dans mon équipement de survie au froid je réalisais le même trajet que tous les matins scolaires, prenant le même chemin, à la même heure, connaissant par cœur chaque millimètre de celui-ci. Par réflexe je m’arrêtais au stop, le nez plongeait dans la lecture d’un énième livre virtuelle d’art. Je savais le feu rouge et lorsqu’une personne me dépassa, j’enclenchais le pas pour la suivre, levant la tête au même instant pour vérifier le vert annonceur du passage. Vérification faite je continuais sur les lignes blanches, soigneusement tracées sur le sol. Elles s’usaient avec le temps, mais elle étaient toujours bien visibles.
Mes jambes ne touchaient plus le sol, mon téléphone m’échappa des mains. Je venais de percuter quelque chose, correction : quelque chose m’avait percuté. « Voilà ton point final Alice » ai-je pensé au même instant « Quelque chose d’aussi banal que ta vie. ». Autours de moi je voyais les gens paniquer derrière un voile rouge. Je savais que je mourrais sur place, peut importe les secours, je le sentais que c’était trop tard. J’ai fermé les yeux, me plongeant dans le noir, attendant cette fameuse faucheuse d’âme, ce dieu qui vous juge, le paradis ou l’enfer, mais rien. Rien ne vint.

Après des minutes qui me parurent des heures je fis l’effort, étrangement simple, d’ouvrir les yeux. Un plafond blanc plongeait dans la pénombre de la pièce. Quelque chose n’allait pas et avant que je ne puisse dire ouf je compris : Olivier Lambert. J’eus envie de pleurer, d’hurler, de me jeter par la fenêtre pour y passer pour de bon. La légende était vrai… et voilà que j’en étais une à présent.
_ Pas de point final Alice… Ma voix roque me fit sursauter. Je restais immobile quelques minutes et prenant mon courage je me levais pour découvrir qu’à présent j’étais un homme, albinos de ce que je comprenais.
Au fur et à mesure que je me regardais, les souvenirs me venaient en mémoire. Comme pour vérifier ces derniers, je fouillais chaque recoins du studio découvrant de nombreuses informations :
- de un je suis un homme albinos
- de deux français à l’origine, j’ai déménager en ville pour le travail de ma mère il y a 10 ans de ça. Visiblement pas de frère et sœur, un point commun.
- de trois je suis étudiants en lettre classique. Cela aurait pu être pire.
- de quatre je ne suis visiblement pas des plus sociale. Cela m’arrange, j’aurais moins de relation à gérer.
- de cinq il adore le jazz, j'ai une préférence pour la musique classique, mais découvrons donc le jazz.
Aujourd’hui il devait aller en cours, mais je pris la décision de rester dans le noir de l’appartement. Il fallait que je réfléchisse. Comprendre c’était fait : pas de chance, je suis une Parallel. Maintenant quoi faire était la question. Comment vivre, comment co-habiter avec ses souvenirs et ses habitudes à lui ? Et surtout bordel de merde, je suis un homme à présent ! Prenant une grande inspiration j’essayais de calmer mes nerfs mis à rude épreuve. C'est seulement après une longue journée de réflexion que la décision fut prise : je nous mélangerais, évitant au maximum ses relations pour m’effacer et ne pas faire de vague. Il était évident que son comportement m’affectait, la preuve en est cette grossièreté naissante en moi, mais je ne pouvais m’ignorer. Voici comment j’en suis arrivée là : aller en cours quand j’y pense, peindre le reste du temps, sortir uniquement pour le nécessaire vitale et éviter le contact avec ses relations.
Ce que je n’avais pas prévu ? L’apparition d’un pouvoir, d’un don, appelez ça comme vous le souhaiter, mais ce truc est un poison au départ et se révèle parfois très utile par la suite. Il s’est manifesté le lendemain de ma supposée mort. Coupant le courant dès que je touchais la moindre petite chose électrique. Bien sûr j’ai paniqué, ne comprenant pas ce qu’il se passait, j’ai voulu appeler au secours, mais je me suis rappelée ma condition… J’ai donc profité de mon isolement naissant pour apprendre à le contrôler, allumant et éteignant les appareils électriques. Au bout d’une semaine intensive, j’estimais enfin stable ma maîtrise, du moins suffisamment pour que les choses ne paraissent pas suspectes.

Je suis morte le 13 décembre, nous sommes le 7 janvier. Moins d’un mois que je suis morte, mais vivante. Je ne suis pas allée à mon enterrement, je n’ai pas voulut le voir, espérant encore au fond de moi que tout ceci soit juste un mauvais rêve…


Albinisme:

 
   PSEUDO ; piou
 AGE ; 24
 DÉCOUVERTE ; à l'origine FB, mais là pour le V2 je  suis un des survivant de la V1
 COMMENTAIRE ; Après Damnation, Damnation le retour !
 CODE ; code validé par Eri
 BLABLA ; Je vais pouvoir à nouveau jouer mon albinos maladroit <3 et oui je n'ai quasiment rien changer à la fiche xD c'est exactement le même caractère et la même histoire !
Degree Zero
Compte fondateur
Degree Zero
Messages : 104
: 175
Re: Olivier Lambert - le retour :D Mar 27 Mar - 12:11

Ahhhhhh je suis contente de te revoir ! Happy
Ta fiche est toujours aussi bien, tout est nickel. J'ai hâte de voir comment tu vas gérer les deux comportements inrp ehee
Et du coup, tu es validé ♥️ amuse-toi bien !
Olivier Lambert - le retour :D
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