Myl △ just when will you leave my head Lun 26 Mar - 23:23 | |
| Myl △ Céleste Fayle - I got nothing to lose but you - ft. Ichigo - Darling in the FranXX NOM ; Fayle PRÉNOM ; Célèste AGE ; 22 - 04/01 SEXE ; Femme NATIONALITÉ ; Irlandaise SEXUALITÉ ; Bisexuelle SITUATION CONJUGALE ; Célibataire, désintéressée OCCUPATION ; Serveuse PARTICULARITÉ ; Une petite barrette blanche qui orne ses cheveux bleus POUVOIR ; Broken Dreams - Spoiler:
Tu contrôles les rêves, de n'importe qui, y compris les tiens, ainsi que les souvenirs des rêves des personnes. Pour faire simple, tu ne te souviens plus de quoi tu as rêvé ? Pas de problèmes, un contact contre toi-même et tu pourras décider de te rappeler. Tu veux oublier un cauchemar ? Tout aussi facile, le même geste, la pensée adéquate, et pouf, plus rien. Seul le souvenir d'avoir voulu, et d'avoir effacé ce souvenir, mais pas le souvenir en lui-même. De même, si tu parles à quelqu'un et qu'il est triste d'avoir fait un horrible rêve, tu peux l'effacer de sa mémoire, comme le remplacer par un autre, créé de toute pièce, par tes soins, ton imagination. Dans une autre situation, tu peux aussi voir le rêve de quelqu'un. Plus drôle encore, tu peux aussi voir le rêve de quelqu'un pendant qu'il le rêve, ce rêve. Seulement pour faire toutes ces choses-là, il te faut toujours avoir un contact avec la personne, durant l'action que tu fais. Heureusement lorsque tu manipules le rêve ou le souvenir d'un rêve de quelqu'un, ceux-ci se retrouvent comme en transe, un peu déboussolés, somnolant. Lorsque l'opération est finie, ils clignent souvent des yeux, frénétiquement pendant quelques secondes, et s'excusent d'avoir comme beugué, ne sachant pas que c'est toi qui déclenches cet état. Enfin, ce ne serait pas drôle s'il n'y avait pas de mauvais côtés à ton pouvoir. Mais ce mauvais côté, quel est-il ? Plus tu pratiques ton pouvoir, plus tu t'épuises. Ce mauvais côté cependant n'est pas très contraignant, en général cette fatigue n'arrive qu'après un bon nombre dans la semaine, ce que tu peux alors éviter facilement. Seulement, un autre problème, plus grave lui, se pose. Durant l'opération, tu brûles. Oui, tu brûles. De flemmes invisibles de tous, sauf toi. Tes doigts d'abord deviennent de plus en plus chaud, puis tu sens ta chair se décomposer, se carboniser. Heureusement, la douleur n'est pas énorme si tu ne répètes l'expérience que peu de fois, ou peu longtemps. Bien que même si c'est la première fois en un mois, si l'opération dure plus d'une dizaine de minutes, la douleur commence à devenir insupportable. NOMBRE DE MORTS ; 2 CAUSES DES MORTS ; Accident de moto - Suicide NUMERO ; 23 au départ, 17 maintenant NOMBRE D'ELIMINATIONS ; 6 | H̷̘̝͓̮̖͋ȅ̴̠̬̦ả̸͖̗r̸͉͇͙̈́͗t̵̡̟͎͚͔̥͊͌̐̓͝͠f̵̮̈͝e̷̫͆̋̒̓ĺ̸̤̠̜͉͌̋͊͘t̷̩̜̞̗̆̀̋͘͜ ̶̟̕v̶̹͓̖͉͌̅̓͊͊̊i̶̤͉̟͉͈̦͗́͛̔̕ó̸͖̩͝͝l̵̝̖̒͒͊̏̏͠ë̸͈́n̶̖̝͛ṱ̷̓̍̚ ̶͍̆l̴̦̻͎̖̱̄̆͑̽̕ͅŏ̸̼̠̅́v̶̧͍̯͕̫́̏͋e̵͇̤̻̠̺̳̋͆̀̀͆̓Commençons par tes défauts, pour te faire briller à la toute fin. Tu es impulsive. Quand tu es énervée, tu ne sais plus te contrôler, frapper quelque chose, ou même quelqu'un, t'aides beaucoup par contre. Tu es gentille, empathique, mais lorsque tu es énervée, un ton de sarcasme et de haine se fais sentir et te voir mettre quelqu'un à terre ne te fait rien. Enfin, jusqu'à ce que tu ne te calmes. Un grand défaut que tu as vraiment du mal à assumer, à moins que tu ne doives l'avouer où qu'on t'a vue énervée, tu nieras cette violence, pourtant bien présente en toi. Tu nies donc, tu es têtu. Tu n'as pas vraiment confiance en toi pourtant, loin de là, mais justement. Tu caches tes faiblesses, ton manque de confiance en toi en feignant être complètement saine et sûre de toi. Comme si tu avais confiance, comme si tu t'estimais. Alors qu'au fond, la seule estimation que tu donnes de toi est d'être une pourriture. Torturée donc. Très fragile. Naïve, oui. Il faut dire que si on fait le cumul de chacune de tes vies, tu n'as pas vécu si longtemps. Tu n'as pas tellement appris comment te comporter normalement en société, comment dire les bons mots, comment être douce. Être une amie. Être.. Ou ne pas être. Oui tu évites cette question. Non tu ne te sens pas coupable. Ensuite, tes qualités. Il est temps de faire briller ton beau sourire, car malgré tes défauts, tu as beaucoup de qualités. D'ailleurs, c'est amusant comme le contraste est impressionnant entre ceux-ci. Autant tu ne sais pas comment te faire des amis, mais tu es très empathique. À l'écoute, modeste. Tu essayes d'être active, d'aller vers les gens. S'il y a bien une chose qu'on ne peut pas te reprocher, c'est que tu essayes. Vraiment. Si tu apprécies quelqu'un, que tu arrives par chance, car oui, tu es si maladroite que tu as quand même du mal hein, on va pas se mentir, à te faire un ou une amie, tu seras très loyale. Tu es aussi attachante, avec ta naïveté et ton joli sourire, avec tes yeux plissés dans un rire, une mèche bleue tombant sur ton visage. Tu n'es pas le genre de fille méga bonne des sites pornos ou des magazines, mais tu es mignonne. Tu es cute. Et ça te vas très bien comme ça. Tu as un côté artistique, tu aimes les poèmes, les écrits. Tu adores la peinture, bien que les paysages ne soient pas ton truc. Par contre, autant tu écris, mais tu ne peins pas. Tu aimes la regarder, la peinture, l'admirer. Tu es passionnée dans ce que tu aimes. + Tu as les cheveux bleu nuit, les yeux or. Quand tes cheveux te tombent devant le visage, tes yeux ont des reflets saphir. Tu es fine, pas très grande, pas non plus petite : un bon mètre soixante-trois. Les cheveux courts, des petites formes. Encore une fois tu n'as un corps parfait, mais tu le trouves bien comme il est. | w̷͎̝̝̲͈̗̰͒̏́͜h̷̡̧̦̪̥͉̱̜̻͊͜ỳ̷̧̢͇̪̱͛̓̌͜ Première vie. Une enfant sans histoire. De bonnes études, une belle famille. Aucun goût. Des amis, un amoureux. Mais aucun goût. Cette fille. Elle était la saveur de ta vie. Cette fille, pourtant, tu ne la connaissais pas. Tu ne veux faisais que l'apercevoir, et pourtant. Et pourtant tu savais, qu'elle avait quelque chose. Quelque chose de différent, quelque chose de spécial. Tu aimais ta famille, comme tes amis et ton copain. Mais elle te faisait voir la vie d'une autre façon. Elle était rebelle, elle n'était pas comme les gens que tu connaissais. Tu t'ennuyais toi, dans ta petite vie tranquille. Faire ses devoirs, réviser, aller dans une grande école, sortir parfois, faire l'amour de temps en temps. Même ça, tu n'y voyais pas un grand intérêt. Tout était fade. Alors qu'en la voyant, marcher dans le couloir, te dépassant, tu l'enviais. Tu l'enviais tellement. Elle avait l'air d'avoir une vie palpitante, une vie pleine de goût. Quand toi tu étais là, à faire ta vie comme le commun des mortels pensait que c'était le mieux. Sans savoir quand tu prendrais enfin plaisir à vivre. Un jour, ça arriva. La mort. Bien que tu n'aimais pas ta vie, tu étais loin de l'avoir vue venir. Un accident banal, une moto conduite par un chauffeur ivre, une pauvre adolescente sur un trottoir, au mauvais endroit, au mauvais moment. Tu meurs, il meurt. La moto meurt. Enfin, pas vraiment. Tu reviens. Dans le corps d'une autre adolescente. Au départ, tu ne comprends pas la situation. Tu paniques. Tu cherches des informations, tu fouilles la maison où tu te trouves. Puis l'évidence te tombe dessus. Comment les appelait-on, déjà ? Les parallels ? Tu avais lu ça quelque part, une histoire que certains gens colportaient. Pourtant, non, tu n'étais pas une parallel. Tu t'en rendis compte, dans cette douche étrangère, pleurant encore à chaude larme. Une glace devant toi, une autre derrière. De trois-quart, tu l'avais alors vu. Ce numéro. Cette malédiction. 23. Tu devais en tuer 23. Pour enfin espérer mourir. Les jours passèrent, tu ne savais que faire. Apparemment, ce nouveau corps appartenait à une fille peu organisée, très rebelle, à ce que tu pouvais en juger. Et puis tu la vis. Elle approcha te dire bonjour, te faire un câlin. Disant que ça faisait longtemps qu'elle ne t'avait pas vue. Tu n'en crois pas tes yeux. Elle était là, devant toi. Cette fille, la meilleure des saveurs. Tu croyais vivre un rêve. Tu lui parlais tous les jours, vous étiez proche. Trop. Trop proche. Un an passa. Elle te dit que tu as changé, qu'elle ne peut plus te parler. Que cette année passée, tu n'avais plus le même caractère. Plus la même façon d'être, que ça l'a gêné. Tu pleures. La nuit entière. Elle était la seule avec qui tu t'étais liée. À ses yeux sûrement que d'amitié, mais toi, beaucoup plus. Elle était devenue la saveur parfaite, elle était devenue la saveur que tu aurais voulu goûter, voulue n'être que tienne. Tu l'aimais. Le lendemain, sa mère toque à ta porte, en pleurs. Paniquée, en sanglots. Au désespoir. Elle était morte. Tu ne pouvais en croire tes oreilles, tu ne pouvais pas le concevoir. Pourtant le fait était là, elle était morte. Elle t'avait laissé une lettre. Non, elle n'avait pas commis de suicide, dans cette lettre, elle expliquait qu'elle espérait qu'un jour elle aurait la force de te la donner. Elle est morte. D'une chute énorme, elle a perdu l'équilibre alors qu'elle était sur le toit de son immeuble, celui-ci étant son endroit favori pour passer le temps. Une fois la lettre lue, tu retournas dans ta chambre. Elle disait se douter. Elle disait avoir entendu les rumeurs sur les parallels et les diakoptis. Elle disait avoir vu ton tatouage changé de nombre. Elle disait ne plus pouvoir te parler, non pas parce que tu avais changé. Mais parce que, non seulement elle t'aimais, elle s'était éprise de la nouvelle existence de ce corps, mais aussi parce que, elle s'en voulait de tomber amoureuse de celle qui avait pris la place d'une de ses amis. Aussi, elle mentionnait ne pas pouvoir aimer une tueuse. Une tueuse. Oui, tu avais tué des gens. Oui, tu trouvais ça horrible. Mais jamais tu n'avais voulu la perdre. Une lame. Du sang, le gorge tranchée, tu revis de nouveau. Tu avais espéré que cela ne marcherait pas mais si, tu es vivante. Pourtant, tu te créer un nouvel espoir. Peut-être a-t-elle revit elle aussi. Dans ce cas tu ne tuerais plus de parallels. Tu attendrais de voir si le destin vous rejoint de nouveau. Tu attendrais de voir, si tu peux retrouver goût à la vie. Bien que, cette vie-là, tu vas vraiment essayer de l'apprécier. Tu espères très fort, qu'elle reviendra. PSEUDO ; Lume AGE ; 17 ans ewi DÉCOUVERTE ; J'ai aidée à le faire jpp le code m'insulte jem pas ça COMMENTAIRE ; ENFIN LA RÉOUVERTURE, BRAVO NOUS CODE ; Auto-validation hehe BLABLA ; Big up à ceux qui auront captés les memes références ~ | |
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