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" How much more now? " - Al.

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" How much more now? " - Al. Mer 28 Déc - 14:02

Alanie Wood
- She has no face anymore cause she wears too mask -

     
ft. Laura Bodewig - Infinite Stratos

     NOM ; Wood
     PRÉNOM ; Alanie
     AGE ; 21 - 00/00
     SEXE ; Féminin
     NATIONALITÉ ; Américaine
     SEXUALITÉ ; Bisexuelle
     SITUATION CONJUGALE ; Célibataire
     OCCUPATION ; Etudiante
     PARTICULARITÉ ; Elle a les yeux vairons, une caractéristique propre à la personne dans laquelle elle a ressuscitée.

     POUVOIR ; Chains - Elle est capable de faire sortir des chaînes de sous-terre, simplement. Ainsi elle peut se défendre, voir attaquer avec. Ces chaînes sont très solides, assez volumineuses, un maillon fait la largeur de deux doigts collés l'un à l'autre et la longueur d'une pomme de main. La longueur de chaîne qu'elle peut faire remonter lui est inconnue, n'en ayant jamais sorti assez pour se faire une idée, mais la quantité moyenne qu'elle sait pouvoir utiliser est déjà assez grande.
     NOMBRE DE MORTS ; Trois
     CAUSES DES MORTS ; Overdose, accident de voiture, suicide
     NUMERO ; 57
     NOMBRE D'ELIMINATIONS ; 3
     
INSIDE MY MIND

     Attentive ; Charismatique ; Confiente ; Courageuse ; Dure ; Égoïste ; Fausse ; Fière ; Fougueuse ; Froide ; Impulsive ; Indépendante ; Ironique ; Malicieuse ; Nymphomane ; Passionnée ; Perverse ; Rancunière ; Rêveuse ; Sadique ; Solitaire
    + Cheveux blanc ( déteint ) et longs jusqu'aux fesses ; Yeux marrons ( Celui de droite est plus foncé, celui de gauche est très clair ) ; 1m69 ; 55kg ; Fine ; Poitrine moyenne ;

     
I CHOSE THIS PATH

l Tu t'appelais Lilou. Tu avais un physique assez banale, les cheveux longs t'arrivant aux hanches, châtains, des yeux à peine plus foncés que tes cheveux ne l'étaient. Tu t'habillais de manière classique, sobre. Ni trop coloré, ni pas assez, quelque bijoux sans en abuser. Tu étais cette fille parmi ton groupe d'amis qui passait un peu inaperçue mais que tout le monde aimait bien, tu n'étais pas vraiment considérée comme spéciale pour qui que ce soit. Tu n'avais pas de meilleure amie, ou de meilleur ami, tu n'avais ni copain ni copine. Mais tu le vivais bien,  tu pensais simplement. Tu as de quoi boire, manger, te loger et tes amis ne te rejettent pas pour autant même si tu n'es rien de plus qu'une simple amie, tes parents t'aiment ? Soit, tout ceci est alors parfait pour vivre sereinement et dans la bonne humeur. Tu étais cette fille simple, c'est ce que les gens aiment chez toi. Tu n'avais pas un grand potentiel en quoi que ce soit mais tu n'étais pas non plus nulle en tout, tu avais ces yeux de la joie et ce sourire content. Tu étais simple, tu étais belle. Tu croquais la vie à pleine dents. Jusqu'à ce que tu ne te décides à croquer son fruit défendue. Elle, qui t'as finalement détruit. Elle, elle était spéciale. Elle était remarquée, elle fréquentait beaucoup de monde. Elle te disait bonjour par moment, sans vraiment faire attention à toi après. Comme le trois quart des gens, mais ça ne t'affectait pas, comme tu le disais et le pensais très sincèrement, cette vie te plaisait. Mais un jour, comme les autres en apparence, elle fit plus que de te dire bonjour. Sûrement qu'elle n'aurait rien fait si elle n'était pas saoule, puisqu'elle t'a donnée tout son repas du soir à tes pieds. Une soirée qui était censée être calme, avait tournée à l'alcool chez un de tes amis. Gentille comme tu es, tu lui a bien sûr proposée de la ramener chez elle. Deux jeunes filles de vingt ans se sont alors en-aller de la maison, tu n'allais sûrement pas la laisser conduire jusqu'à chez elle dans cet état. Tu lui a demandée son adresse, puis tu l'as ramenée chez elle. C'est ironique, mais même si peu était comme, très palpitant pour toi. Tu n'étais pas spécialement excitée ou quoi que ce soit de ramener une fille chez elle, mais tu n'avais jamais vécue quelque chose qui sorte autant du quotidien pour toi. Ton sourire était toujours là sur ton visage, tu la pris dans tes bras. Sa chambre était à l'étage de la maison, mais ça ne t'as pas été très compliqué de l'installer sur son lit de tes propres moyens. En tout cas moins que d'ouvrir la porte d'entrée avec cette jolie dans tes bras. Tu la trouvais jolie, oui. Elle s'était endormie pendant le trajet. Elle était maintenant là, allongée dans son lit sur lequel tu t'étais assise près d'elle. Tu la regardais. Peut-être depuis trop longtemps maintenant. Tu la trouvais jolie oui encore une fois, mais tu ne lui avais jamais donnée un regard de plus qu'à quelqu'un d'autre. En ce moment même c'était différent. Elle ne sentait pas spécialement bon, voir même un peu mauvais, ses habits étaient froissés, elle n'était pas sous son meilleur angle disons. Mais elle avait quelque chose de plus. Là, tout de suite. Tu avais beau chercher quoi, tu ne trouvais pas.
Tu étais ensuite assise sur son lit, à l'attendre. Elle était partie prendre une douche, un bain peut-être. Tu ne savais plus. Tu pensais trop, toi qui n'avais pas l'habitude de te poser trop de question, de trop réfléchir. Tu étais simple, les réponses te venaient vite en général, comme une évidence ou comme une chose habituelle. Mais tu ne pouvais obtenir une réponse cette fois là. Tout le reste de ta décadence se basera sur ce moment.
Elle fini donc par sortir, le bruit de la porte t'ayant sortie de tes pensées. Elle était en peignoir, toi tu avais fini par t'allonger au milieu du lit deux places qui sublimait la pièce de sa grandeur. Les cheveux encore humide, un peu en bataille, ce parfum qui lui était si unique, aussi attirant que de l'eau en temps de sécheresse mais aussi doux comme la surface de sa peau, si douce. Ce parfum s'approchait de toi, sans que tu ne saches qu'il se rapprochait trop dangereusement. Tu te posa beaucoup de questions plus tard sur ce qu'il se passa réellement cette nuit là, mais tu ne pouvais l'expliquer. Pas rationnellement. Tu n'avais que des souvenirs, des sensations. Elle t'avais embrassée, avait enlevée son peignoir. Tu lui avait donnée un regard que tu n'avais jamais eue pour personne, tu l'avais désirée, tu l'avais embrassée. Tu te souviens de la courbe de ses hanches, aussi belles que ta déchéance, tu te souviens de la douceur de ses lèvres, si douce qu'elles te hantaient et te donnait fièvre, tu te souviens de son goût qui te rendait si saoul. Tu ne peux rien oublier, elle t'a donnée cette fièvre de la vie, de l'amour, mais du sex surtout. Elle t'en a tant donnée au fil des semaines, des mois. Tout ne faisait que s'accélérer, ta vie devenait trop différente, changeait. Tu ne connaissais pas une vie comme ça, mais plus ta vie changeait, plus tu allais mieux. Tu étais bien, tu allais merveilleusement bien. Sans voir qu'elle, elle se jouait de toi. T'aimait-elle ? Oui. Était-elle fidèle ? Non. Elle était ce genre de fille, qui même avec des sentiments ne pouvait contenir ses envies, ses pulsions. Tu le découvris un jour, comme on pouvait s'y attendre. Elle t'a alors détruit, elle a voulu te rattraper quand tu es partie, pleurant, courant comme si c'était pour ta vie. Tu aurais dû courir bien avant. Elle ne réussit jamais à te rattraper. Elle te hantait. Tout chez elle te hantait, tu a cherchée tout les moyens d'y échapper. Tu t'es découverte nymphomane peu de temps plus tard, sans savoir si elle t'y avais conduit ou si tu t'y étais conduite seule en multipliant les aventures d'un soir pour l'oublier. L'alcool et la drogue sont devenus tes meilleurs amis. Tu n'allais plus à l'université, tes parents étaient trop loin pour se douter de ce que tu vivais, de ce qui arrivait.
Ta mort eue un goût de Vodka et de drogue diverses, tu n'as jamais réussie à oublier cette fille. Cette femme. Ta femme. Elle sera toujours restée ta femme pour toi. Toujours.
l Tu es ensuite devenue Lum. Lum, parce que c'est comme cela que tout les amis de cette fille t'appelaient. Tu n'as pas compris ce qui t'arrivais, mais tu étais réveillée. C'est la première chose que tu as pensée en te réveillant, tu étais réveillée. Dans le corps d'une adolescente de quinze ans, très mignonne. Trop à ton goût. Elle avait les cheveux violets, long jusqu'en bas de son dos, elle portait constamment des lentilles de vues tout de moins colorées violettes elles aussi. Assez petite, tu étais maintenant dans un corps d'un mètre cinquante à peine. Tu savais sa vie, sans savoir pourquoi encore une fois. A partir de ce jour, tu ne compris plus grand-chose à ta vie. Ce nombre te suivait partout, le cinquante-sept. Ses parents étaient gentils, ses amis aussi, au début tu en enrageais. Pourquoi n'avais-tu pas eue le droit à tout ça ? Tu ne le montra pas, tu vis ta vie comme la sienne, te posant constamment des questions. Que faisais-tu ici, dans ce corps ? N'étais pas tu morte ? Avais-tu ressuscitée ? Pourquoi ce nombre était partout ? Tes questions ne trouvaient pas de réponse, encore une fois. Mais tu finis par te questionner de moins en moins, te laissant happée par cette vie. Tu te prenais petit à petit au jeu de mentir. De jouer. Tu arrivais à contrôler tes envies de nymphomane, tu es redevenue plus calme. Tu étais toujours mal, mais tu finis par comprendre. Comprendre que la douleur ne partirait jamais, qu'elle ne diminuerait même pas. Ce qu'il fallait ce n'était pas chercher à oublier, à guérir, mais à vivre avec cette énorme douleur. Jours après jours. Il faut croire que cette vie te convenait autant que celle que tu avais d'antan toujours eue. Calme. Mais cette fois était différente. La vie de la petite Lumecya était plus palpitante que celle que tu menais avant de rencontrer ta belle rousse, ton poison. Elle avait des amis, une meilleure amie. Point de copain ni de copine, mais avoir des amis comme les siens changeaient bien assez son quotidien. Tu avais finalement réappris à sourire naturellement, à rire même. Tu vivais avec cette fissure sur ton cœur, cette douleur, tu y arrivais même de mieux en mieux. Tu devint comme elle. Tu avais compris son caractère aux dires et réactions de ses amis, de sa famille, de tout son entourage. C'était une fille timide, très naïve, attachante, mignonne. Ce genre de fille qui ne connaissent pas les dangers de la vie, qui ne comprenne pas la méchanceté ni la naissance du mal lui même, le pourquoi du mal. Qui rejette les acquis pour ne pas s'y appuyer et faire toujours plus. L’intelligence et l'ignorance à la fois, fragile mais forte d'esprit, une fille qui se sacrifierait pour une bonne cause mais qui n'aurait jamais mal de rien. Tu l'es devenue. Cette fille, tu étais devenue comme elle. Non, tu étais elle. Lilou n'était plus la Lilou qui avait une vie seulement vivable, ni la Lilou qui a connue les interdits et les folies des sentiments les plus fort, pas non plus la Lilou détruite, tu étais Lumecya. Tu étais Lum, et tu allais mieux.
Mais tu t'en doutes, la vie ne pouvait pas te laisser aller mieux. Non, c'était bien trop pour toi d'aller mieux. Il fallait te faire comprendre ta mission, le nouveau sens de ta vie que tu ne savais pas encore. Ce jour là, tu étais avec tes amis. Trois des amis avec qui tu te sentais le mieux. Vous traversiez, simplement. Une voiture arrivait à toute vitesse, sans que vous ne l'ayez vu. Vous ne la virent pas à temps. Tu as fais un geste des plus beau, presque au dernier moment tu avais alors pousser tes amis. Tu avais voulue bien faire, voulue les sauver. Sans voir qu'une moto passait, elle aussi énormément vite. Elle roula sur tes deux amis, un après l'autre, avant que le conducteur de cette moto ne heurte un camion de plein fouet, et que la passagère ne tombe à côté du camion en criant autant de douleur que de peur. Lui devait être mort sur le coup, au vu de son crâne ouvert jusqu'à l'os et son visage inexpressif, tandis que la fille, blessée, rampait jusqu'à lui. Toi, tu te fis renverser par la voiture, à peine quelque seconde après avoir essayée de sauver tes amis. Pourquoi a t-il fallu que tu meurs de nouveau ? Pour te faire comprendre ta mission. Aussi cruellement que ce soit.
l Tu es encore réveillée. Oui, encore réveillée. La première chose que tu as faite en arrivant est de pleurer. Pleurer, pleurer et encore pleurer. Pour tes amis, pour la personne sur la moto que tu as tuée de tes mains, pour toi même. Tu te demandais si c'était comme ça pour tout le monde, si tout le monde mentait et que tous vivaient exactement la même chose que toi. Tu ne savais pas. Tu ne savais rien. Tu étais incapable de comprendre ce qui t'arrivais, pourquoi cela t'arrivais.
Mais il le fallait. Recommencer à vivre. Essayer, parce que c'était tout ce qu'il y avait à faire. Tu n'avais aucun expression faciale, jamais. Le corps dans lequel tu étais maintenant, était toujours celui d'une fille. De dix-sept ans cette fois. Elle avait un nom que tu n'aimais pas, tu te faisais alors appeler Youn par le peu de personnes qui te parlaient. Nom que tu avais trouvé, d'origine japonaise et qui te plaisait bien. Tu ne voulais pas reprendre ton nom, aucun des deux que tu avais pu avoir. Cette fille là n'avait pas d'amis, les gens la regardaient avec pitié. Elle n'avait pas même de parents, presque personne dans ses contacts. Toi qui avait ses souvenirs, tu savais pourquoi. Cette fille avait une maladie, maladie dont tu n'as jamais réussie à retenir le nom. Elle a peur de tout, presque tout. Elle a peur vite, pour n'importe quoi. D'une peur la plus absurde comme une feuille, comme une peur normale de surprise ou une peur rationnelle comme la peur de perdre quelqu'un d'important. Ses parents n'ont pu le supporter et ont fini par la mettre dans l'internat de son lycée, ne la voyant que les week-end, bien assez à leurs yeux. Elle était abandonnée de tous, personne ne la comprenant, complètement seule. Elle n'avait pas de partenaire dans sa chambre non plus.
Les jours passèrent, ce nombre te suivait toujours, néanmoins il avait diminué de un. C'était maintenant un cinquante-six qui te suivait partout. Tu as compris que quand tu te réveillais dans un nouveau corps, était presque l'exact moment où tu mourrais dans ton autre corps. Les heures, les dates correspondaient. Tu as entendue aux infos ce qui était arrivé, ils ont parlés de l'accident. Tu as pleuré. En sachant que tu avais bel et bien tué tes amis, que tu avais sûrement détruit une fille du nom de Caroline en tuant son copain, lui du nom de Dylan. Les détails t'ont marqués. Tu t'en voulais, tu t'en voulais tellement. Tu te sentais si fragile. Cette vie t'a rendue si fragile, tu étais si cassée de l'intérieur.
D'autres jours passèrent. Tu étais comme morte. Vide. Tu aurais eue le courage de mettre fin à tes jours tu l'aurais fais, mais tu ne l'avais point. Tu avais peur de revenir aussi, dans cette vie si misérable.
Un jour, quelque mois plus tard, ce fut l'anniversaire de cette fille, que tu renommais toi-même Youn. Tes parents ne t'avaient pas donnés un seul cadeau. Tu t'ennuyais, tu étais mal. Encore, toujours, de plus en plus, à croire qu'il n'y avait pas de limite à la douleur d'un homme. Tu avais les yeux rivés sur ton portable, ne sachant que faire, en ce moment même, de ta vie. Et tu y arrivais, par hasard. Tu entendis simplement une partie de conversation venant de deux personnes qui passaient devant toi. Ils parlaient d'un certain site. Un réseau social, du nom de Chronexia. Encore une fois, des questions te vinrent. Ils avaient dit des choses que tu ne pouvais pas comprendre. Pas totalement. Leurs mots, tu avais l'impression que la tournure de la conversation, ils parlaient de ce que tu vivais. Ils avaient dit les mots « Morts », « Retrouver », « Comme nous », « Survivants », « Les numéros », « Parler », « Trouver un plan », « Attaquer ». Tout était confus dans ta tête, tu n'avais pu comprendre plus. Tu avais alors taper Chronexia, dans ton moteur de recherche. Une url, un clic, tu y es. Tu aurais du mal à expliquer tout les sentiments qui t'ont traversés ensuite, prenant peu à peu conscience du monde qui t'entoure. Tu y avais déjà un compte, alors que tu n'y avais jamais accédée. Tu lisais des choses absurdes qui ne pouvaient être vrai. Tu as rassembler autant d'informations que tu pouvais en concevoir. Tu les rassemblas, les entrechoquas, les imaginant comme un casse-tête à résoudre. Tes conclusions te faisaient peur, tu ne voulais pas y croire. Ces deux années de ta vie, tu avais voulue trouver des réponses à tes questions, et maintenant que les avais, que tu savais que tout ceci concorde, tu ne voulais pas. Tu ne voulais pas faire partie de ce système, tu ne voulais pas être une machine à tuer, tu ne voulais pas être utilisée. Tu voudrais que ce soit faux, que tout ceci ne soit que le plus gros mensonge qu'il n'est jamais existé. Mais tout se complète, les détails sont trop poussés et exactes. Le nombre de parallels à tuer, que tu sois une diaktopis, que tu sois comme immortelle.. C'est impossible pour toi de t'y faire.
Aux jours d'aujourd'hui, c'est l'un des souvenirs dont tu gardes une image très clair. Toi, Lilou, Lumecya, Youn, peu importe qui tu étais, tu pleurais, tu courais, tu ne voulais plus être. Tu n'avais pas courue comme ça depuis très longtemps, depuis ta belle rousse. Tu était rentrée à l'internat et avait pris un couteau. Tu le tenais fermement à deux mains, pourtant ça ne suffisait pas. Tu tremblais, tu pleurais toujours, tu voyais flou. Tu ne voulais pas risquer de te manquer. Tu avais donnée un dernier regard au couteau, l'avais lâché d'une main. La peau ici était fine, tu y avais laissée une longue fissure qui se couvrit rapidement de rouge avant de t'écrouler. Ils te trouvèrent quelque heures plus tard, la gorge tranchée, les yeux dans le vide. Le couteau toujours dans ta main.
l Quelque mois ont passés depuis. Quelque mois où tu as totalement changée. Tu n'es plus que Alanie. Tu as décidée de te faire appeler comme ça. Tu es maintenant froide, beaucoup plus terre à terre que tu ne l'as jamais été. La vie t'as rendue glaciale. Tu as découvert ton pouvoir un jour où tu n'as pu contenir ta colère. Tu as un but, tu as finis par l'accepter. Tu mènes ta mission, petit à petit. Tu as aussi bien réfléchi au fait que ton nombre ai diminué de un il y a longtemps maintenant, et fais le lien. Un de tes amis ou l'homme sur la moto était un parallel. Tu en as tué un ce jour là. Depuis, tu en as tué deux. Tout deux grace à ton pouvoir, que tu aimes beaucoup depuis que tu l'as découvert. Tu l'appelles « Chains ». Tu avais lue quelque part sur Chronexia que chacun avait un pouvoir, mais tu ne savais pas encore lequel était le tiens. Maintenant que tu le connais, tu penses n'avoir rien à envier à personne.
Tu es maintenant Alanie. Juste Alanie.

     
   PSEUDO ; Mallow
     AGE ; "Au final, qu'est-l'âge?" - Fauche Gros, 27 mai 1967 ( en vrai 16 )
     DÉCOUVERTE ; J'suis un peu comme le parmesan dans les pâtes pour la fonda': Indispensable
     COMMENTAIRE ; DU VERT OWI
     CODE ; validation suprême d'Elvyra
     BLABLA ; Sinon on baise?


Dernière édition par Alanie le Jeu 29 Déc - 14:09, édité 3 fois
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Re: " How much more now? " - Al. Mer 28 Déc - 14:20

J'vais te tuer jpp
Allez continue moi tout ça *bootyslap* Evil plan
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Re: " How much more now? " - Al. Jeu 29 Déc - 1:02

Je préfère poster l'histoire déjà fini ce sera pour demain mais en attendant ntm j'ai fais le cara' Dance

Edit
Finalement, j'étais un peu trop inspirée et j'ai fais ça pendant la nuit
Du coup j'suis même plus fatiguée, rip moi demain
Si y a des fautes je les corrigerais genre, demain. F'fin aujourd'hui du coup. Oh pi ntm

Re:Edit
VOILA VALIDE MOI ONEE
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Re: " How much more now? " - Al. Ven 30 Déc - 1:39

VALIDATION ROYALE

Tupu mé jtem alor jte valide
déché
Nous avons l'immense déshonneur de t'annoncer que ta shitty superbe présentation a été validée par ma royale personne l'équipe, et que tu possèdes ainsi le DEVOIR droit de recenser ton avatar dans le bottin des avatars et ton pouvoir dans le bottin des pouvoirs pour enfin pouvoir jouer~ Tu peux également publier ta fiche de relation et demande de rp dans les relations, pour ensuite créer ta page Chronexia.
Now go to play you little smurf  Dance
and die by the way
u shit
♥️
Contenu sponsorisé
Re: " How much more now? " - Al.

" How much more now? " - Al.
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